mazzer super joly + bacchi

bon, j'explique :

le torrefacteur (en fait, une) dont j'ai déjà cité le nom au début de mon post possède un magnifique machine en bonne grosse ferraille bien bruyante avec un bras rotatif qui tourne lentement les grains sur une grille
spectacle assuré, ce qui ne veux pas dire que la qualité est là, bien sur
maintenant que je l'écrit je n'ai pas vu la machine le jour de mon achat, mais peut-être a-t-elle été déplacée ?
je ne suis pas le genre à aller râler dans un magasin, je change de crèmerie
j'ai l'habitude de me faire avoir sur tous mes achats (remise et/ou qualité et/ou transport etc...) cela fait longtemps que j'en ai pris mon parti

maintenant les projets :

1°) aujoud'hui j'ai eu la réponse d'un technicien de chez soubira, ils ont les meules d'origines à 37 € HT (info laissées sur mon répondeur),
dés que j'ai un moment de libre... je montre le matos au pro

2°) demain matin prendre le temps de faire un café, c'est un bon challenge,

3°) réussir à sortir le contacteur supérieur,
ce soir j'ai sorti la petite vis cruciforme sur le haut du contacteur = rien ne bouge = j'ai revissé la cruciforme,
j'ai dévissé les 2 vis hexagonales en haut du doseur = le bas reste fixé, j'ai pas compris où pouvait se trouver une vis qui tient encore car rien ne bouge = j'ai remis les vis hexagonales

le réalisé maintenant : TADZAMM
j'ai retiré le tamper (ouf je maitrise !), j'ai remis les vis fendues d'origine en attendant de retrouver dans mes archives (très bien rangées) 2 vis inox 6 pans creux ou torx


acheter du café sur le net ?
pas de problème je suis client d'un pro (max...ee)
c'est chez lui que j'ai acheté ma briel et le moulin java
et j'achète régulièrement du café (indian sherry) et du chocolat en poudre
mais bon j'ai bien envie d'essayer soubira et moggy puisqu'ils sont sur bordeaux

ok arawak
je vais tenter le dosage à 18g + ne pas trop serrer la vis triangulaire de blocage

pour totokro :
pour le vin, j'ai une cave enterrée en pierre + quelques bouteilles
juste pour info :
un vin moyen qui est sorti sans le remuer, ouvert au moins 1 h avant le repas et très doucement transvasé dans un carafe bien sphérique et laissée ouverte est optimisé
mais tu devais déjà savoir tout cela
mon grand-père (qui était dans le monde viticole) était toujours goguenard de voir des "bourgeois" consommer des grands crus dés le bouchon sorti
pour se pâmer ensuite en grand "connaisseurs"

comme quoi,
il faut prendre le temps d'écouter ceux qui savent et ensuite tester à son rythme pour bien apprécier

" 1 qui sait vaut mieux que 2 qui cherchent "

biroulet

Je suis pour ma part très intéressé de connaître l'état des meules ; je parie sur leur mise en cause ;-)

biroulet a écrit:bon, j'explique :

l....

Biroulet,

En relisant mon post je m'aperçois qu'il est un peu vindicatif. Rassure toi je ne te vise pas et ne te reproche rien. Il se voulait plus général car d'autres nous lisent.
Et j'ai tendance à insister beaucoup sur le point du café suffisamment frais, car c'est souvent un point mal compris par les débutants.
C'est un de mes défaut d'être parfois vindicatif, je m'en excuse. Sens toi à l'aise ici, et merci de partager tes impressions, c’est comme ça que tous nous progressons.

Pour les cafés, essaie, essaie, essaie.

Après, s'il il n'y a pas de crème et que le gout te satisfait, c'est le but !
Nous sommes juste là pour te rappeler que tu peux tirer encore mieux de ta machine.
Pour le café, il y a quelques références ici niveau fraicheur et qualité:
Stéphane (Cataldi), Manu (coffeez), Sadry (Mokxa), Pfaff, Missègue (préciser toutefois à la commande que l'on veut le plus frais possible), différents torréfacteur locaux (Coutume, lapeyronie, montmartre à Paris, ...)

Je trouve pour ma part un peu dommage de "changer de crèmerie" si vite.
Un artisan local, s'il sait se mettre à l'écoute, doit pouvoir s'améliorer.
Un problème identifié de gestion/roulement des stocks n'est sans doute pas quelque chose d'insurmontable.

happy a écrit:Je trouve pour ma part un peu dommage de "changer de crèmerie" si vite.
Un artisan local, s'il sait se mettre à l'écoute, doit pouvoir s'améliorer.
Un problème identifié de gestion/roulement des stocks n'est sans doute pas quelque chose d'insurmontable.

Je ne pense pas que parce qu'une personne va dire à un torréfacteur "votre café est mal torréfié", il va se remettre en cause... peu de clients voient la différence, moi-même avant d'avoir une bonne machine, je faisais confiance au cadre, aux beaux silos en cuivre et tout, donc 99% des clients seront contents, le reste peut aller voir ailleurs... les commerçants et artisans ont leurs habitudes et leurs certitudes, et c'est normal dans un sens, mais quand un "profane" leur fait remarquer, d'une façon ou d'une autre, qu'ils ne connaissent pas bien leur boulot, il se fait envoyer paître, parce qu'il n'est pas du métier... c'est du vécu

Bien. Si j'en parle en ces termes c'est parcequ'il s'agit également de vécu, et parceque l'expérience s'est révélée positive.

L'artisan en question était ravi qu'on s'intéresse à son travail et ne va pas croire qu'un professionnel te prenne forcément de haut, surtout s'il est passionné et disponible à ce moment.
La fraicheur est indispensable pour tout type d'extraction mais elle se remarque nettement plus pour l'espresso (pour ce qui est du visuel), tout du moins pour des grains non-ensachés et laissés en silos.

Aujourd'hui il continue de vendre certains grains moins frais que d'autres.
Ce qui a changé, c'est que dorénavant si tu lui demandes du café pour une machine espresso, il te vendra le café le plus frais possible.

Dans tout corps de métier, et comme dans la vie en règle générale, il y a des gens plus ou moins intelligents et certains sont capables de s'ouvrir, voire même parfois de se remettre en cause.

Que tu ne l'ais pas vécu ainsi, c'est évidemment dommage, mais ce n'est pas suffisant pour faire de ton cas une généralité, ni même pour baisser les bras.

Même si ça ne devait fonctionner qu'une fois sur 100, pour moi ça vaut bien la peine d'engager une discussion avec le professionnel sur la qualité de ses produits.

Tu as parfaitement raison dans ta démarche

Je suis juste moins patient et j'ai eu moins de chance que toi, je n'ai jamais vu un artisan/commerçant admettre qu'il pouvait ne pas détenir la vérité, et pire, ne pas traiter par le mépris tous les avis contraires... du coup comme je n'aime pas être pris pour un con même quand j'ai la preuve par A+B de ce que je dis, bah je n'argumente plus, je dis "oui oui" et je ne reviens plus

oui happy,
tu as raison,

juste que parfois on ne tombe pas physiquement sur le "professionnel",

mais sur un intérimaire, un stagiaire, un remplaçant dont le niveau de connaissance ou de motivation n'est pas le même que le gérant de la boite
ceci n'est pas une critique mais un constat
croyez-moi, je respecte totalement les salariés qui apprennent un métier,

en plus dans la boutique il y a parfois des clients,
et là, j'aime pas du tout me donner en spectacle

alors, lâchement, je l'avoue, je ne retourne pas chez le professionnel quel qu'il soit et je tente ma chance ailleurs


un peu d'espoir pour yomgaille
maintenant, comme tout le monde, il m'est arrivé de rencontrer le bon professionnel passionné par son métier qui m'écoute en souriant
et quand je reviens, je suis reconnu immédiatement et bien servi,
et si on peut ; on cause amicalement
heureusement cela arrive !

de toute façon montrer à un professionnel que :
- son métier m'intéresse,
- j'ai envie de l'écouter,
- j'essaie de poser les bonnes questions,
- j'ai tout à apprendre de son savoir

le tout, sans démagogie aucune

hé bien c'est une parenthènse dans ce monde de brute
comment mieux vivre mieux en société, non ?

c'est quand même pas une histoire de café qui va nous exciter, non ?

ce matin
j'ai pris le temps de faire couler un café,
mais avec la briel seulement
yes bien bon

biroulet

C'est bien beau de "causer amicalement" avec le professionnel qui aime son boulot et qui le fait bien, là on parlait du mec qui bosse mal et/ou qui ignore certains aspects de son travail, c'est pas la même chose d'aller lui expliquer ce qui cloche

Dans ma ptite campagne, il n'y a que 2 torréfacteurs dans un rayon de 100 km...Ça aide certainement à avoir la volonté d'entrer en contact avec le professionnel et à se faire entendre pour avoir un produit correct.
A bien y réfléchir, peut-être que si j'avais la possibilité comme vous de changer aussi facilement de fournisseur, je ne m'embêterais pas plus ...

Bonne soirée

yomgaille a écrit:Tu as parfaitement raison dans ta démarche

Je suis juste moins patient et j'ai eu moins de chance que toi, je n'ai jamais vu un artisan/commerçant admettre qu'il pouvait ne pas détenir la vérité, et pire, ne pas traiter par le mépris tous les avis contraires... du coup comme je n'aime pas être pris pour un con même quand j'ai la preuve par A+B de ce que je dis, bah je n'argumente plus, je dis "oui oui" et je ne reviens plus

Expérience comparable ; dans la boutique que je fréquentais auparavant, le grand-père fondateur était blindé de certitudes et de de diktats qu'il assénait avec une détermination qui ne tolérait pas la moindre discussion. Alors j'avais pris l'habitude de plaisanter un peu avec lui, parce qu'il était également capable d'entrer dans le jeu. Puis son mélange était bien torréfié, sombre mais goûteux, et à cette époque de plus, mon expérience des brûlerie était nulle. Son successeur hélas (de la famille), l'ayant vu pratiquer, et l'ayant assisté peut-être, a dû reprendre la boutique au décès de son parent. Depuis, le mélange est devenu noir et luisant comme du charbon. J'en ai parlé une fois, puis une autre. La troisième fois, je me suis demandé s'il n'avait aucune mémoire, s'il ne comprenait pas ce que je racontais... Mais en fait, il est sorti de sa réserve, assez fâché, pour me signifier que peu importait ce que je pensais (qu'il avait parfaitement entendu mais à quoi il ne répondait jamais), puisque le client en redemandait, de son charbon, puisque tout le monde était enchanté... Il n'allait pas, m'a-t-il asséné, changer de procédure simplement pour me faire plaisir. Depuis, ayant passé pour un imbécile, je considère son commerce comme méritant un large détour.

Brûlerie Amazone ?

Je parie plutôt pour un travers helvète ...

1°) resserrage de la molette d'1/2 cran sur le mazzer,
2°) 18 grammes de mouture,
3°) 25" d'extraction
4°) fin filet de liquide que je trouvais de couleur orangée au début, en tout cas plus clair qu'avant




au goût on sent dans le haut du palais un léger film d'huile
le parfum, humm, j'ai pas les mots, tout de bon !

le goût reste dans le nez longtemps après la dégustation

dommage d'aller se laver les dents !

pas beaucoup de crème encore,
cela s'approche

j'ai acheté du harrar chez moggy hier
le kenia tire à sa fin

mazzer :
en définitive je n'ai pas supprimé le contacteur supérieur
j'ai trouvé dans mes archives un pinceau qui va bien que j'ai recoupé à la bonne longueur pour aller plonger sous la languette métal et aller nettoyer la sortie du café

peut-être qu'avec des meules neuves...
pour la crema ?

je tasse la mouture avec la paume de ma main dans le filtre
elle est incroyablement "souple" "dilatée" "aérée"
je ne sais pas quel terme employer

faut pas que j'exagère trop sur la quantité d'expressi, j'ai pas envi de faire la fortune de mon cardiologue !
biroulet

hello ,bon courage et bonne persévérance


alors ,de mon coté ,je ne tasse pas du tout la mouture dans le filtre.

Je recentre la mouture lorsqu'il y a en a trop sur un coté du filtre avec la main très légèrement puis le tassement est réalisé par le "diffuseur -couvercle"

ce que je voulait dire c'est que la mouture fait un petit monticule qui est plus haut que les bords du filtre

en fait je ne tasse pas,
disons que j'enfonce avec la paume de la main, la mouture au niveau du bord du porte filtre et ensuite c'est le diffuseur-couvercle que j'empile qui fait le tassement en tournant légèrement pour le centrage des becs sur les porte-tasses

j'ai bien une balance électronique mais...
modèle tefal
avec soit disant une précision théorique à +/- 2 gr,
je pose le diffuseur-couvercle + le porte-filtre avec son filtre en espérant que cela soit plus fiable qu'avec le filtre tout seul
pour la mouture plutôt que le poids je pense qu'il faut que je travaille sur le rapport densité/volume
je ne sais pas si je suis clair :
comment est aérée la mouture et quel volume elle va occuper après tassement dans le filtre

j'ai constaté que le quasi-bon volume de dose dose serait quant 2 "compartiments" (volume entre 2 pales du mazzer) seraient remplis au niveau de l''arraseur" (tôle plate en inox)

donc en théorie :
2 compartiments pleins correspondraient pour ce café au volume du filtre de la bacchi
si je pèse la quantité de 18 gr de grain,
je mouds,
je "balaye" au pinceau la buse
2 vidages de compartiment remplis
je vide le doseur (dans le couvercle du doseur, c'est pratique)
je remplis le filtre à la cuillère
et je pense avoir bon pour le filtre

ce qui serait nickel-chrome serait de modifier, comme je l'ai lu sur ce forum, (merci) en collant un adhésif qui fasse racleur au fond du doseur
mais franchement j'ai pas envie de démonter un appareil qui marche
tel que je me connais je serais capable de mettre le mazzer en panne !
javascript:emoticonp('')

mais,je vais peut-être tenter sans démontage...
si j'ai pas les doigts trop fébriles après mes 2 expressi

biroulet

le pinceau

ok ,on applique donc la même technique pour le tassage de la mouture

Pour la balance ,j'utilise uniquement le filtre.Ainsi j'obtiens sur ma balance:

24 grs pour le filtre seul et 42 grs avec la mouture .


J'ai constaté que la créma varie selon les cafés.

Actuellement ,je bois du guatemala finca.=>de la créma ,mais pas d'aspect tigré

Sur un mélange "impérial lucianni" ,créma avec un aspect tigré visuellement sympathique .

Toutefois ,le finca a très bon gout (je le préfere d'ailleurs ) même si visuellement il est moins appétissant que le "mélange impérial"

pour avoir ce résultat :

17g de mouture
tassage dans la paume
la mouture est tellement aérée qu'elle se tasse sans forcer et l'ensemble bec/diffuseur et porte-filtre passe sans problème sous le portique de serrage
6'20" pour le sifflement et aussitôt, je glisse la bacchi pour la sortir de la plaque dés le fort sifflement
extraction en 25" avec le robinet ouvert de 2 tours = fin filet
maintenant le rapport densité de mouture/volume tassé est bon car l'écoulement est fin et non fonction de la valeur d'ouverture du robinet
le début de l'écoulement est légèrement orangé jusqu'à 1/4 de l'écoulement
le bec gauche coule un peu plus que celui de droite

le café est excellent à mon goùt

je suis passé chez soubira à bouliac pour connaitre l'avis du pro :
réponse du bon technicien prénommé jean pascal
"vos meules peuvent moudre encore au moins 200 kg de café"
merci à ce vrai professionnel sympathique qui a pris quelques instants pour me donner de judicieux conseils

prochain achat de café : un soubira qu'il m'a conseillé et que j'irai acheter rue st catherine


je pense que je peux encore affiner
- dés le sifflement fort = retirer la bacchi pour ne pas brûler la mouture
- un broyage = aussitôt 2 expressi (tant pis je me forcerai à les boire !)
- j'ai commandé sur am...one une petite balance électronique (fast weight ms600)


j'ai glissé dans la partie chambre de pression (là où se trouvent les soupapes) un reste d'éponge (seulement la partie verte et grattante) pour atténuer le son aigüe car ce n'est pas agréable à cause de mon acouphène

l'avis des pointures de ce forum ?
cela dans le bon sens ?
vous validez le test ?

biroulet

J'aime bien la tasse de droite et sa crème tigrée. Ca me semble en bonne voie maintenant.

Pour ma part, je laisse la machine sur le gaz pendant l'extraction. Je ne sais pas si cela change grand chose au résultat.

1er constat :
après le remontage de la meule supérieure et 1 premier broyage au même réglage
= la mouture était trop fine
j'avais pourtant noté avant de démonter, vieille habitude de mécanicien selon le principe " je repère et je désaccouple"

j'ai grossi la mouture cran par cran, café après café
le réglage au poil, à mon goût, est à 4 crans + gros maintenant
càd 4 dixième de mm si un tour de porte meule = 1 mm
c'est grave précis comme bécane

2éme constat :
lorsque je sort la mouture utilisée du filtre avec un cuillère, la mouture est légèrement souple

j'utilise maintenant la balance électronique que j'ai commandé
à 11 € ce n'est pas la peine de se priver

le poids de mouture pour ce café est de 16.3 g
et, pour moi, il est meilleur en n'étant pas trop serré

tout ceci pour dire que la bacchi demande une précision fine pour être efficace
c'est un rituel alambiqué qui fait sourire mon épouse
elle a horreur du café !

j'éteins maintenant la plaque au début de l'extraction
refermer le robinet en fin d'extraction n'est pas évident surtout que j'ouvre de 2 tours
les becs continuent à goutter et il faut aussi vite sortir les tasses

aujourd'hui mes expressi sont (allez, presque) identiques à chaque extraction

hélas j'arrive au fond du paquet !
j'ai envie d'acheter du café soubira
il va falloir tout recommencer avec ce dilemne :
1°) si j'achète, comme il est conseillé par certains sur ce forum, 3 x 250g de café fraichement torréfié j'en ai pour au moins un mois
donc moins de fraicheur dans 10 jours qui suivent l'achat
2°) si j'achète 1 paquet de 250 g toujours le même (soubira sidamo ?) je risque d'avoir une "légère" différence à chaque nouveau paquet

n'exagérons pas : je suis surement incapable de mémoriser l'arome d'un paquet à l'autre javascript:emoticonp('')

j'ai vérifié l'horizontalité de ma plaque vitro-céramique : elle est bonne
malgré cela il y a toujours un peu plus de café dans la tasse de droite
ce n'est pas catastrophique car l'arôme est le même

comme en politique : aucune différence entre gauche et droite
ils sont au parfum

enfin j'ai une bacchi et je ne suis pas prêt de passer sur une autre machine
heureusement que je n'ai pas une machine à levier !

et que j'ai un mazzer
javascript:emoticonp('')

biroulet

oups,

c'est 4 centième de mm et pas 4 dixième qu'il faut lire !

biroulet