La Brulerie de Pornic

Un Torréfacteur vient enfin de s'installer dans le pays de retz. Je ne vais plus être obliger de me rendre dans le centre de Nantes pour avoir du grain a moudre

En plus ils sont ouvert le samedi...Première visite hier, une machine a torréfier flambante neuve, du grains vert dans ces sacs d'origine et 6 container pour le grains torréfié. Tout est fait sur place.
J'ai pris un paquet de Dom Jimenez Estate de République Dominicaine 22€ le kilo.
Le grain est visiblement trop cuit, les huiles sont sorties du grains. les profils sont sans doute encore a affinés. On verra comment seront les prochaines et si le torréfacteur est a l’écoute de ces clients.
J'essais quand même un extraction, la créme est bien présente mais le café n'a pas tous les arômes requis. Le gout respecte malgré tout le caractère de ce cru, avec des notes d'agrumes bien présente. Un fort gout de caramel brûlé du certainement a une cuisson trop poussée.

J'ai discuter un peu, mais le disours et pour l'instant un peu commercial : pas d'info sur les date de toréfaction. Je sais bien que c'est pas facile a gerer cet aspect et qu'afficher les dates de torréfactions sur les produit conduirait a favoriser la vente des café les plus frais au détriment des autres. Ceçi dit avec un peu d'assiduité j'espere bien qu'un climat de confiance s'etablirat...

Ce jeune couple de torréfacteur c'est établit a Clion sur mer 3 rue de Verdun.
Bonne chance a eux...

Quelques photos tiré du compte facebook de la brulerie de Pornic:







Un petit reportage dans un blog :
http://framboise-pornic.eklablog.com/la-brulerie-de-pornic-a112488736

Un couple courageux avec une bien belle machine

Bonne chance à eux

Début mai, j’ai profité d’une virée à Pornic pour rendre visite à ce nouveau torréfacteur.
J’ai reçu un accueil très sympathique de Sandrine, la tenancière de l’atelier , car effectivement je ne me trouve pas dans une boutique classique, mais bien dans la partie habituellement cachée en arrière boutique.
Tout est d’une propreté de laboratoire , avec le joper qui brille au milieu du local
La discussion devient vite pédagogique, et concerne le choix des cafés, la volonté de ne faire que de l’arabica ne provenant que d’une ferme et pas de mélange.
Cela est allé jusqu’au choix du local et la nécessité de faibles écarts de températures.
En bref, conversation fort intéressante avec une personne qui m’a paru passionnée par son boulot.

Pour ce qui est de l’offre, une dizaine de fûts au total :
J’ai pris du Guatemala antigua el fuego : très fruité, finale très longue, acidulé mais pas acide


Et un Brésil FAF mococa : plus léger, plus doux, plutôt chocolaté avec une pointe d’acidulé

Le torréfacteur ne serait il pas plutôt un Toper ?

Bah non Joper c'est écrit dessus

Ben oui j'viens de voir ça