materiel de torrefaction

Bonjour
Je cherche une petite machine à torrefaction - ambulant de préférence + un moulin/broyeur, env 3 kg
quelqu'un à un tuyau ?
huuuum je sens déjà l'arome !
MERCI

derodeguy a écrit:Bonjour
Je cherche une petite machine à torrefaction - ambulant de préférence + un moulin/broyeur, env 3 kg
quelqu'un à un tuyau ?
huuuum je sens déjà l'arome !
MERCI

Bonsoir, Une capacité de torréfaction de 3K/broche ? C'est au minimum 100 K pour un truc sérieux.

Jean-Noël Grosmenil a écrit:

derodeguy a écrit:Bonjour
Je cherche une petite machine à torrefaction - ambulant de préférence + un moulin/broyeur, env 3 kg
quelqu'un à un tuyau ?
huuuum je sens déjà l'arome !
MERCI

Bonsoir, Une capacité de torréfaction de 3K/broche ? C'est au minimum 100 K pour un truc sérieux.

MerciMerci;
Les 3kg : pour un moulin transportable, simplement pour moudre les grains.
Connaissez-vous une entreprise pour machines de torrefaction ?
Bon w.end à vous
guy

derodeguy a écrit:

Jean-Noël Grosmenil a écrit:

derodeguy a écrit:Bonjour
Je cherche une petite machine à torrefaction - ambulant de préférence + un moulin/broyeur, env 3 kg
quelqu'un à un tuyau ?
huuuum je sens déjà l'arome !
MERCI

Bonsoir, Une capacité de torréfaction de 3K/broche ? C'est au minimum 100 K pour un truc sérieux.

MerciMerci;
Les 3kg : pour un moulin transportable, simplement pour moudre les grains.
Connaissez-vous une entreprise pour machines de torrefaction ?
Bon w.end à vous
guy

Bonjour,

Un moulin de détail à sacs (pour prendre avec une pince les sacs et les remplir à la demande) fait plus 10-15 K que 3 si on veut du sèrieux:

- Santos avec son N°4
- Mazzer avec son Super Jolly Drogheria ou Major Drogheria
- Eureka (Conti Valerio) avec son Drogheria à meules de 65 à 85 mm

Les torréfacteurs, tout dépend du volume à torréfier en une broche (en une fois). Probat (Allemagne) sort le petit Probatone 5 qui est cher mais correct, Petroncini (Italie)a le Briciola qui n'est pas mal et Balestra (Italie) a le K 3/5 qui est encore un cran au dessus. Jadis il y avait Saimac (France), mais ces derniers viennent d'arrêter la fabrication de torréfacteurs, pas totalement fantastiques par rapport à ceux cités. Je conseille si possible le gaz ou une chauffe mixte sur ces petits appareils, si disponible.

Il reste le marché de l’occasion, en fuyant comme la peste les Massol vendus à profusion, car peu fiables et ayant un rendu largement perfectible. On trouve là des marques disparues de fabrication, mais solides comme le roc: Vittoria (Italie), Virey-Garnier, H. Hamerel (France) ou encore Otto Swadlo (Autriche).

Vous êtes un passionné de la torréfaction je vois !
Pro ? torréfacteur ? grand amateur ?
Je vous explique pour mes questions : j'étudie la possibilité de vendre du café sur les marchés de producteurs etc, vu l'essor que prennent ces marchés et l'engoûment du public. Représenter une marque ou un artisan sera pas facile, donc éventuellement me lancer dans la torréfaction si j'arrive à tout maîtriser.
Je me renseigne et cherche.
encore merci.

C'est quelque chose que l'on commence à voir, mais la torréfaction c'est un métier et qui demande un long apprentissage pour sortir des choses propres.

Donc c'est à mettre dans la balance, on peut se former. Le matériel et les annexes qui entourent le torréfacteur ont aussi un coût certain. Une autre solution est de s'approcher d'un torréfacteur artisanal ou industriel façonnier (qui travaille à façon) et de vendre ses formules, ses origines ou des formules conçues "à façon" sous sa propre marque.

Ne croyez pas que les grands épiciers parisiens font intégralement ou même partiellement leur café... Ils font presque tous façonner, à part un qui torréfie partiellement à la Madeleine (pas tout). Heureusement !

Jean-Noël Grosmenil a écrit:C'est quelque chose que l'on commence à voir, mais la torréfaction c'est un métier et qui demande un long apprentissage pour sortir des choses propres.

Donc c'est à mettre dans la balance, on peut se former. Le matériel et les annexes qui entourent le torréfacteur ont aussi un coût certain. Une autre solution est de s'approcher d'un torréfacteur artisanal ou industriel façonnier (qui travaille à façon) et de vendre ses formules, ses origines ou des formules conçues "à façon" sous sa propre marque.

Ne croyez pas que les grands épiciers parisiens font intégralement ou même partiellement leur café... Ils font presque tous façonner, à part un qui torréfie partiellement à la Madeleine (pas tout). Heureusement !

Oui, un métier en effet, ça prend des années : j'en ai eu un autre ( et de taille : peintre en lettres...) bref. Trouver un artisan à façon, est sûrement la bonne solution pour commencer.
Je vous remercie pour tous les précisions

derodeguy a écrit:Oui, un métier en effet, ça prend des années : j'en ai eu un autre ( et de taille : peintre en lettres...) bref. Trouver un artisan à façon, est sûrement la bonne solution pour commencer.
Je vous remercie pour tous les précisions

Bonsoir,

Je le pense, car se lancer avec une expérience minimale c'est risqué. Au strict minimum une formation chez un torréfacteur local pour débroussailler le terrain et apprendre les bases. Se mettre en accord avec lui pour faire un achat de SES produits en complément de tiens et les diffuser dans un périmètre plus grand. On ne devient pas torréfacteur en six mois, c'est certain ... après c'est l’implication, un don, l'observation, un nez et un palais.

Une personne dans un autre forum s'est lancée en vente camion où elle torréfie en partie sur place (marché, fêtes, etc), mais elle avait travaillé auparavant quelques mois chez un petit brûleur local et ne fait que des origines, pas de mélanges. C'est la partie la plus délicate, la formulation. Je dis toujours que c'est comme la parfumerie, il faut connaître les matières premières et ensuite savoir les assembler pour les transcender: cela donne un parfum. On ne devient pas un Jacques Guerlain, un J Paul Guerlain ou un Richard Fraysse en deux mois, il faut minimum 5-6 ans avant de présenter un parfum "vendable". Et avoir certaines prédispositions... Ensuite, rien ne remplace l'expérience