BZ07 PiD évolution vers R58 Cinquantotto

10 ans à la maison à boire de l’eau à 52.2mg/l (TDS 180°C) et pH 7,3.
Un poussoir « marche/arrêt » bien lustré.


Ces trois dernières années : Une pompe, l’électrovanne et le PID ont été changés.
Donc la voici partante pour au moins 7 ans. Une valeur.
Mais …Rocket R58 Cinquantotto est arrivée  avec un groupe E61 qui m’intriguait de longue date.
Les photos, il y en a de nombreuses sur le net, je colle mon interprétation.

Le but de mon post’ est de confirmer que le « Tableau de bord » peut être débranché et se mettre à l’abri car ça vole bas quelquefois dans la zone.
Sans l’ardoise magique efficace et intuitive, la machine garde les réglages en mémoire et son style latin est respecté.
- Tentative de rallonge USB ; Le déport de l’accessoire est inefficace (Demande de code).
Avec un branchement sur le PC, le micrologiciel affiche firmware v0.0 au lieu de firmware v1.x.
S’il y a des mises à jour ? comment et Pourquoi ?
- Et pourquoi  pas des profils … mince chacun sa niche  

En vrac : Remarques à chaud de la R58 Cinquantotto.
- Pour le niveau d’eau, le pont-conducteur noyé dans la paroi de la cuve bredouille quelquefois. En cause la conductivité de l’eau (Siemens), nature des sels mineraux  … ???
- Il y a bien un bouchon sur la bassinelle (MC a raté son entourloupe sur plusieurs points, …)
- Au débit, la pompe ne baisse pas la  garde, pression constante. C'est top et je règle la mouture pour avoir un panier qui satisfait  les tasses en 25à 30 secondes.
- Je change la largeur de ma boîte à marc. Le porte-filtre plus lourd est de dimension généreuse et il faut viser pour ne pas cogner le rebord du bac.
- Je lorgne vers les paniers IMS qui  apportent un plus pour le confort d’entretien (Cf. forum)
- J’ai dû quand même justifier que la BZ partait sous cocon.

Première impression
 Le grain le plus fréquent de passage dans la trémie est couleur « Robe de moine » ou torréfaction italienne.
Le napolitain en tasse est au top sans que je pianote trop sur le moulin et en bouche, je note pour l’ensemble, Passalacqua  et/ou des "sachets noirs", une structure plus développée sans dureté, une sensation plus ample.
Avec cette machine, je maîtrise mieux ce côté suret de fruit rouge des cuisson « médium », le broyeur , lui est davantage susceptible sur ces profils. (Mini-Mazzer e-).

L’arrivée R58 a provoqué une nouvelle exploration des torréfactions légères. Cependant, à la consommation, aucune adhésion de la famille. (Ce n'est pas mon goût, c’est acide … Exit le coffee shop je préfère …).

J’aurai tenté et il y a une marge de progression. Un domaine à travailler.
Changement de machine, Changement de grain, Mais c’est toujours ce bon vieux ristretto napolitain, caffè italien ou ce goût « tasse française » qui est le grand gagnant pour la maisonnée.
Donc : R58 Cinquantotto - Contre 0, abstention 0, oui à la majorité.
(Euh… Tu la mets où la Bezzera)

Pour un complément d'infos, je peux le faire 'En moins brouillon'

Salut @apicus, genial retour en vrac sur tes impressions, c'est très instructif. Depuis combien de temps as-tu la nouvelle machine?

+1, et puis cette tasse rouge soulève une question: est-ce qu'une tasse peut tomber en panne?



J'aime bien l'approche pour nous présenter la machine sous un autre angle, ça donne envie d'en savoir plus. Merci!

Un (petit) ristretto dans une tasse Ducati, le graal

Rainbowe a écrit:Depuis combien de temps as-tu la nouvelle machine?

Depuis fin novembre.

Les cafés testés étaient connus à la maison pour la plupart.
Principalement Amériques; quelques Afrique de l'Est.
Les Guatemala ou Amérique centrale sont en faveur à la maison.

Après le pic de la curiosité, un retour en régime de croisière s'installe.
Je vais pouvoir instrumenter et faire quelques photos de l'ardoise. 
J'ai eu hésité avec Bezzera et j'ai choisi un système en partie extérieure(prévention thermique)
Le Retour d'EXpérience nous en dira plus